1ère ÉDITION DU SALON INTERNATIONAL DU LIVRE DE BAMAKO : UN MOYEN POUR INSTAURER LA CULTURE DE L’EXCELLENCE   

Plusieurs acteurs de la chaine du livre ont pris part du 22 au 26 mai 2024 à la bibliothèque nationale, au Salon international du livre (SALIBA). Un cadre spécifiquement dédié au livre et à la lecture qui contribuerait au relèvement du niveau de prise en compte du livre dans la promotion de l’éducation, de l’économie et de la culture par excellence.

La cérémonie d’ouverture était placée sous la présidence du ministre de la Culture, de l’industrie hôtelière et du tourisme, Andogoly Guindo entouré entre autres par le directeur général de la bibliothèque nationale Dr Amadou Sidibé, le président de l’association des écrivains du Mali et la diaspora, N’Fana Kaba Diakité, des éditeurs et auteurs, des enseignants chercheurs et de plusieurs élèves et étudiants.

En effet, après avoir salué l’effort des organisateurs et leur esprit de partenariat avec la direction de la bibliothèque nationale du Mali, le ministre Andogoly dit avoir noté que le livre a « cette capacité unique de nous divertir, de nous instruire, d’être à la fois, l’instrument d’une sortie de soi, d’une rencontre avec les autres et d’offrir un temps où plonger plus profondément en soi-même ». Pour lui, le livre est un puissant moyen de réalisation du rêve d’un monde sans ignorance, de paix et de bien-être.  Et d’indiquer qu’il est important pour nous de prendre le temps seul ou avec ses enfants mais aussi de faire grandir ces derniers en tant que lecteurs, en leur transmettant l’amour de la littérature qui durera la vie entière.

Pour sa part, le président de l’AEMD dira que ce salon est plus qu’un simple événement littéraire. « C’est l’une des rencontres, d’échanges et de découvertes où les lecteurs et les auteurs se rejoignent dans une communion autour de la passion des livres » a indiqué M N’fana Kaba Diakité ajoutant que c’est aussi, une occasion unique de célébrer le pouvoir des mots à transcender les frontières, à éveiller les consciences et à nourrir notre imaginaire.

Rappelons que le SALIBA était placé sous le thème de : « La renaissance » et a été marqué par des expositions, des conférences et ateliers de lecture.

Yacouba COULIBALY

 

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