A l’occasion de la célébration de la 32e Journée mondiale des droits de l’Enfant, le samedi dernier 20 novembre 2021 au Palais de la culture Amadou Hampâté Bâ , les enfants du Mali ont manifesté leur reconnaissance à Ismaël Maïga du bureau de Communication de l’UNICEF appelé à faire valoir son droit à la retraite en fin d’année. Une reconnaissance à travers un tableau riche en symboles.
«Merci aux enfants du Mali pour la reconnaissance à ma modeste personne. Après 3 décennies au service exclusif des enfants c’est non sans émotion, mais avec une légitime fierté que j’ai reçu ce tableau symbole d’une vision commune des droits de l’Enfant et surtout de la participation des enfants. Nul doute que la relève est à présent assurée», a réagit le doyen Ismaël Maïga sur sa page Facebook.
Il a profité de l’occasion pour dire Merci à Madame le ministre de la Promotion de la Femme, de l’Enfant et de la Famille ; à Madame la Représentante de l’UNICEF ; au Parlement national des enfants ; à l’APJEC ; à tous les mouvements et associations d’enfants ; aux médias et à l’ensemble des partenaires.
Il faut rappeler les cérémonies d’ouverture et de clôture de la 15e édition d’Oxyjeunes (du 6 au 10 septembre 2021) à Koulikoro ont été marquées par plusieurs messages de reconnaissance au Chargé de communication à l’Unicef-Mali et l’un des piliers de la manifestation, M. Ismaël Maïga. A commencer par celui du président de l’URTEL, M. Bandiougou Danté, qui avait demandé à M. Maïga de s’assurer que la relève est assurée avant de partir. Et cela d’autant plus qu’Oxyjeunes ne doit pas s’arrêter.
Le président du Parlement national des enfants, Nouhoum Chérif Haïdara avait aussi, au nom des enfants du Mali, rendu un vibrant hommage à celui qu’ils appellent communément «Tonton Ismaël». Les enfants, dans leurs présentations, n’ont pas manqué de souhaiter bonne chance à tonton Ismaël qui va certainement leur manqué. A la base d’Oxyjeunes, Ismaël Maïga était la cheville ouvrière de cette belle initiative du début à Sévaré (Mopti) à cette 15e édition que Koulikoro vient d’abriter.
Naby